Collège Les Sablons

St Étienne.
Le vingt-six février 2011, à Saint-Étienne, j’étais devant le stade Geoffroy-Guichard, le chaudron. J’allais voir le match, Saint-Étienne contre Nice. Le match ne commençait qu’à dix-neuf heures trente, mais il n’était que dix-huit heures. Donc, avec mon père, mon oncle et trois amis, nous décidons d’aller à la boutique des verts, pour nous acheter des maillots et divers objets. A dix-neuf heures, nous nous arrêtions boire un verre. Tout était vert, même les tables avaient le logo de l’A.S.S.E. J’étais tellement excité de voir le match ! Vers dix-neuf heures et quart, quand nous étions à la fin des escaliers, nous voyions le stade de haut très haut. Il était magnifique. Nous nous asseyions à notre place.

Le match commença. Saint-Étienne menait 1-0. Tout à coup, un bruit sourd nous fracassa les oreilles, les joueurs s’arrêtèrent et les supporters aussi. La tribune en face de moi s’effondra. Tous les spectateurs rejoignirent leur voiture, mais, au loin je vis une créature mesurant à peux près vingt mètres elle était étrange, hargneuse, on aurait cru qu’elle avait la rage, derrière son dos était marqué HULK. Il prit toutes les voitures, les balançant sur les gens. Les C.R.S lui tirèrent dessus avec leurs armes, mais cela ne lui faisait rien. Nous nous abritions dans la cafétéria et attendions qu’il parte. Nous nous endormions.

Le lendemain matin, le monstre n’était plus là. Dehors, il n’y avait plus rien, pas un arbre, pas de stade, pas de voiture ni de gens. Nous sortions de la cafétéria et, par terre, il y avait un bain de sang et rien d’autre.

J’entendais des bruits étranges. Je m’avançais vers l’endroit où il y avait le stade mais rien, il n’y avait plus rien.

Tout-à-coup, je vis un trou noir, je m’approchais et je m’aperçus que les bruits venaient du trou.

Le vingt-six février 2012, je retournais sur les lieux. Tout était bien rangé, balayé, propre, je vis un gardien. J’allais le voir et lui demandais ce qui s’était passé le vingt-six février 2011. Le gardien m’envoyait promener, alors je repartis sans information. Mais je trouvais que cet homme était étrange.