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Publié : 26 juin 2011
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C’était le 20 mars

C’était le 20 mars de l’année 1997, j’habitais à Paris, la septième avenue de la foire aux lapins. Je vis dans une maison blanche, il y a une chambre pour moi et ma future femme. Il y a une autre chambre pour un enfant que nous allions adopter.
Je m’appelle Damien Bernadette, je suis brun aux yeux marron. Je ne pense qu’à mon physique et à jouer aux jeux vidéos. Mes sports préférés sont le rugby et le handball. Ma femme est brune aux yeux marrons, elle est maigre.
Je vais me marier avec elle le 25 mars 1997. Nous sommes obligés d’adopter un enfant car elle eut un accident et elle eut des complications lors de l’opération, donc elle ne peut plus avoir d’enfant.
Je me levais en sursaut, mais malheureusement, on avait posé du café sur le lit et je le renversai.
Mais qui est le … qui a posé ce café ! disais-je.
Je m’étais brûlé, je me précipitai sous la douche. Après, je m’habillai et j’allumai l’ordinateur.
Il marche, aujourd’hui, pensai je.
Coucou Chéri ! dit ma femme.
Je m’enfuis en courant : ma femme, qui, pour moi, avant, était une top-modèle, est maintenant un monstre indescriptible. Je sortis, mais sans que je comprenne pourquoi, les personnes autour de moi fuyaient en hurlant. Je vis alors une chose horrible sur ma droite, je comprenais donc pourquoi ils se sauvaient. Je pris mes jambes à mon cou. Mais, des militaires m’encerclèrent. Tous les individus autour de moi me scrutèrent avec un air de dégout.
Un monstre accourut vers moi et tua tout les soldats. J’étais effaré, je courus pour échapper à ce monstre. Il me suivait, j’arrivais à une sortie de la ville, mais des centaines de militaires nous attendaient. Le monstre m’attrapa.
Lache-moi ! hurlai-je !
Il faut s’enfuir ! dit- elle.
Le monstre n’eut point le temps de bouger que les militaires ouvrirent le feu. Je reçus une balle, j’entendis une sirène, puis ce fut le flou total. Quand j’ouvris les yeux, j’étais allongé sur un lit d’hôpital. J’avais très mal à la tête, je regardai par la fenêtre et vis le monstre. Je me frottai les yeux et me recouchai.
Auriez vous des cachets d’aspirine ? demandai-je.
Je suis désolée, je ne peux pas vous donner des cachets d’aspirine, dit l’infirmière.
Pourquoi donc ? demandai-je.
Vous êtes déjà sous leur emprise : si je vous donne une autre dose, vous vous retrouvez six pieds sous terre ! dit l’infirmière. En ce moment même vous avez des hallucinations, alors je vous conseille de vous reposer.